Catégories : Femmes fessées
il y a 9 ans
Je terminais mon troisième verre, et il était assez tard. Dans la petite salle sombre et enfumée du "Blues Corner"; trois musiciens faisaient le "boeuf", rien que pour eux, et seules deux tables étaient encore occupées. Il devait même être très tard, mais je n'avais pas de montre sur moi et, d'ailleurs, je me fichais bien de l'heure qu'il pouvait être; la nuit n'était pas terminée, et je me sentais gagné par un vague ennui. J'ai jeté un billet sur le comptoir, et m'y suis adossé. C'est alors que la porte du bar s'est ouverte, et Karen est entrée. Le barman lui a jeté un regard lourd de fatigue, mais il n'a rien dit. Karen est venue à moi en souriant. J'ai pris la main qu'elle me tendait et, m'inclinant, je l'ai effleurée de mes lèvres. Elle m'a dit: "Bonsoir, comment allez-vous?" J'ai répondu n'importe quoi; des images très fortes affluaient dans mon esprit.
Je n'avais pas revu Karen depuis sa mémorable visite à mon atelier, trois mois plus tôt. Je l'avais rencontrée la veille, au vernissage d'une exposition de peintures érotiques à laquelle je participais. Elle semblait très intéressée par mon travail, et, il faut bien le dire, assez troublée par ce qu'il représentait... Des femmes; des femmes attachées, à-demi dévêtues, fouettées. Parfois en humiliante posture sur les genoux d'un homme - ou d'une femme - et recevant sa punition.
Hypocritement, elle avait parlé de ma technique, des ambiances lumineuses qui baignaient certaines de mes toiles mais, à aucun moment, elle n'en avait évoqué les sujets. Elle avait manifesté le désir de visiter mon atelier, et je l'avais reçue le lendemain. Après les banalités d'usage, un léger incident allait décider de la suite des évènements; Karen, involontairement - ou pas, je n'en sais rien - avait renversé sa flûte de Champagne sur ma table de travail, inondant quelques croquis sans importance. Faisant semblant d'être fâché, je l'avais sommée de partir, ou... De reconnaître qu'elle méritait une "juste" punition. Elle connaissait mes oeuvres - sinon ma sulfureuse réputation -, et ne pouvait ignorer de quelle façon elle serait punie... Elle était restée.
Elle avait donc reçu ce qu'il est convenu d'appeler "une bonne fessée", administrée à l'aide de ma longue latte graduée, instrument usuel du dessinateur et du sévère correcteur que j'étais.
Après cela, elle partit très vite, confuse au-delà de toute expression; elle devait reprendre un vol pour Madrid le soir-même. Je pensais ne jamais la revoir et, de temps en temps, quand ce charmant souvenir me hantait, j'ouvrais un des tiroirs de mon bureau, j'en tirais la petite culotte de coton blanc que je lui avais confisquée, et j'y déposais un petit baiser... .
Karen
L'avion atterrit finalement à l'aéroport de Bruxelles. J´étais nerveuse, angoissée.. Je ne savais pas très bien si je voulais rester ou prendre l'avion du retour et fuir a toute vitesse.
Mille fois je me suis demandée si j étais folle.
J´étais folle ?... Pourquoi avais-je décidé de revenir ?
Ça faisait trois mois , seulement trois mois, que pour la première fois de ma vie avais voyagé jusqu' à Bruxelles pour une affaire en rapport avec ma thèse de doctorat. Le sujet de ma thèse n'était pas simple, et il avait la particularité que les pièces à étudier étaient trop dispersées.
J'ai eu la chance que Bruxelles réunisse pendant 5 mois toutes ces pièces dans une même exposition, et cela été une grande occasion.
C´était presque la fin de mon séjour quand l'exposition se termina, et je préparais mes bagages de retour, lorsqu'en entrant pour la dernière fois dans le musée, j´ai vu une affiche. C'était l'annonce d'une nouvelle exposition. Une exposition qui était inaugurée dans la salle d´à côté. Je me suis approchée… Quelle surprise ! Le grand Waldo exposait .
J'avais entendu parler de lui et je connaissais ses œuvres .
J'aimais beaucoup sa façon de peindre. Son réalisme, le mélange des couleurs et les textures dans ses toiles. Les expressions des personnages, les détails.. Ses tableaux étaient comme des photographies, instantanés de la vie même, mais au-delà de ce qu'une camera peut recueillir, les dessins de Waldo recueillaient l'âme.. En voyant ses peintures, on sait toujours quelles sont les sensations, les sentiments, les pensées des personnages représentés. Mais, j´avais vu surtout aussi certains de ses tableaux qui traitaient de femmes fessées, attachées... soumises… je ne peux pas expliquer pourquoi, mais cela m'attirait spécialement.
J´étais habillée assez simplement, avec une jupe bleue marine courte et ample, une chemise blanche, des chaussettes blanches et des chaussures à talons plats . J'ai regardé l'annonce de l'exposition de Waldo. J'ai regardé ma tenue... je ne me suis pas aimée. Je n'étais pas habillée pour une exposition. Mais si je n'en profitais pas, je n'aurais jamais l'occasion de voir au naturel l'art de Waldo, que jusqu'à présent, j´avais seulement eu l'occasion de voir sur des photos, revues et livres d'art, puisque mon avion de retour à Madrid décollait juste le jour suivant. Alors, même si ma tenue n´était pas la plus appropriée, j'ai décidé d’entrer.
Juste quand je regardais une étonnante peinture ou on pouvait voir une femme assise sur un long banc de pierre, sous une fenêtre, fessant une jeunette couchée en travers de ses genoux, j'ai entendu que quelqu'un me parlait...
-"Bonjour Mademoiselle, je vois qu´elles vous intéressent mes peintures…
Je me suis paralysée. C était Waldo en personne qui s'était approché de moi et avait constaté l'intérêt qui je portais à un dessin qui faisait partie de mes fantaisies érotiques plus secrètes. Je me suis troublée. J'ai essayé de m´en sortir en essayant de parler de technique, et sur son art en général, Inutile.. Waldo s'était rendu compte de l'effet qu'en moi avaient causées ses peintures de fessées et de domination. En me voyant si intéressée par son art il m'a invitée à son atelier. Mon cœur s´est arrêté. Il y avait quelque chose dans cet homme qui me faisait, d'une part, me confier à lui, et d´une autre, me troublait, m'inquiétait. Beaucoup de sensations se sont bousculées dans mon esprit avant que je réponde. J'ai fait appel à ma sagesse, longuement démontrée, j ai essayé de me convaincre moi même que cela était une folie, me suis répété mille fois: "dis non, dis non" mais, en baissant les yeux, et avec une petite voix tremblante, tout simplement, j'ai accepté ..
Waldo m'a emmenée à son atelier de peintre. J'ai pu étudier à l aise tous ses tableaux. Non seulement ceux avec les sujets de domination, mais tous les autres. Nous parlions, nous fumions.. Mais je me sentais perturbée.
Le regard de Waldo avait quelque chose spécial que je ne puis pas décrire.. J’étais très nerveuse. Waldo m'a servi un verre et sans le vouloir je l´ai renversé sur des dessins sur la table. Je n'ai pas pu y croire, quand il m'a annoncé qu'il me punirait pour cela. Ce n´était pas possible.. Cela ne pouvait pas être en train de m´arriver à moi... Mais en effet..... Waldo ne plaisantait pas et je ne sais pas très bien si je n'ai pas pu ou n'ai pas voulu m'opposer . Quelque chose m'obligeait à lui obéir , à me soumettre...
Waldo m'a fessée avec sa règle de dessinateur, sur les fesses nues. C´était la première fois que je me faisais fesser de ma vie. J´avais toujours rêvé d´une fessée comme celle- la.. Mais jamais je l´avais reçue. Pendant que je sentais les coups de règle sur mes fesses, des millions de sensations ont traversé mon esprit. La douleur, la honte, l´humiliation d´être fesses nues face a un inconnu, et quel inconnu!! L´homme dont j´avais rêvé depuis le premier jour où j´avais vu un de ses dessins sur un livre d´art, représentant une femme se faisant fesser à la cravache par un homme, dont j´ai toujours su que c´était un autoportrait… Maintenant j´étais là. Dans son atelier. En effet, l´homme que j´avais vu sur le dessin du livre d´art lui ressemblait beaucoup. Et maintenant c´était moi qu´il fessait, à la règle, là... à son atelier.
Penchée en avant sur sa table, parmi tous ses dessins, à côté du verre renversé, avec ma jupe bleu marine d´écolière retroussée, mes fesses à l´air, je recevais pour la première fois la fessée de mes rêves les plus intimes, de mes désirs les plus cachés, et j´étais excitée.
Quand Waldo a fini de me fesser, je suis partie en courant, j´ai fui, j´ai quitté l´atelier à toute vitesse, confondue, honteuse.. .Et dans cette fuite, je ne me suis pas rendu compte que j´avais oublié ma culotte...
Partie 1
Et voici que Karen était là, à cette heure indue, dans la chaleur moite et obscure du "Blues Corner"... Elle était de passage à Bruxelles, pour ses études, je crois; elle était arrivée l'avant-veille et repartait le lendemain soir. Je lui en fis le reproche:
-
Vous auriez pu me contacter plus rapidement! Ca mériterait une correction... Et comment m'avez-vous trouvé? Vous avez fait tous les bars à ma recherche?... Vous teniez tant que ça à me revoir, malgré ce que je vous ai fait?...
-
Mais, non, non! C'est par hasard que je...
La pénombre ne m'avait pas empêché de voir ses joues prendre une nuance carminée très délicate... J'aime les femmes fautives capables de rougir; je trouve cela attendrissant... Je poursuivis d'un ton sévère:
- Vous mentez, en plus! Le mensonge mérite aussi une punition... Vous êtes allée à mon atelier, je n'y étais pas, et vous avez cherché dans tous les bistrots du quartier... Pourquoi ne pas le dire?...
Fuyant mon regard, elle balbutia: "je ne sais pas... Excusez-moi". J'eus un petit rire:
- Je ne pardonne pas si facilement, petite fille! Je vais vous donner, ici-même, la fessée que vous méritez... Je suis sûr que ces messieurs-dames n'y trouveront rien à redire; quant au barman, c'est un ami.
J'avais parlé assez fort, et les gens nous regardaient d'un air amusé; Karen avait perdu instantanément ses belles couleurs. Elle dit, suppliante: "ce n'est pas possible... Pas ici..."
- Bon, si vous préférez, allons prendre un dernier verre à l'atelier. Mais je serai plus sévère, dans ce cas. Vous pouvez aussi rentrer à votre hôtel, et on en parle plus. Vous êtes libre. Que décidez-vous?
La jeune femme lançait des regards affolés autour d'elle; très vite, d'une voix un peu enrouée, elle dit: "je vous suis! Partons, s'il vous plaît!"
Nous avons quitté le bar. Dehors, en cette fin du mois d'août, la chaleur était lourde, annonciatrice d'orage, comme c'est souvent le cas ici. Nous avons marché en silence durant quelques minutes, et nous nous sommes arrêtés, sur mon injonction, au coin de la rue des Eperonniers.
- Il est encore temps de renoncer, Karen, ai-je dit calmement. Si vous franchissez la porte de l'atelier, sachez que je vous traiterai durement; pas tant parce que vous le méritez que parce que j'en ai envie... Dans votre avion, demain, le fauteuil vous semblera très inconfortable, mais vous ne pourrez pas voyager debout... Il y a une station de taxis à deux pas. Je puis vous y conduire.
Un groupe d'Allemands éméchés passa près de nous en riant grassement. Karen dit d'une petite voix: "je viens avec vous".
-
C'est bon. En gage de soumission, vous allez ôter votre culotte et me la confier.
-
Ici?!...
-
J'ai horreur de me répéter. Allons, vite!
Le groupe de teutons disparaissait au bout de la petite rue; Karen a retroussé sa jupe et prestement fait glisser le slip au long de ses cuisses. Elle à enjambé le sous-vêtement et me l'a tendu, d'une main qui tremblait un peu. J'ai plongé mon visage dans le tissus soyeux et tiède, et pris une profonde inspiration. La culotte était imprégnée du parfum précieux de Karen, et aussi des effluves plus musquées de son intimité; ce mariage de fragrances était absolument grisant... j'enfouis le sous-vêtement dans ma poche, et nous nous remîmes en route. Tenant à troubler un peu plus ma consentante victime, je remarquai:
- Votre petite culotte me semble anormalement humide, pour ne pas dire mouillée. La chaleur ambiante ne peut pas être la seule responsable... Seriez-vous à ce point excitée par ce qui va vous arriver dans quelques minutes?...
Karen fit un mouvement de tête qui pouvait signifier à la fois oui et non... De toutes façons, je n'avais pas besoin de réponse à ma question.
Comme j'ouvrais ma porte, le beffroi de la Grand-Place sonna trois fois. La pièce allait commencer...
Karen
Trois mois étaient passés depuis cet incident, et à nouveau, j'étais à Bruxelles.
Pourquoi retournais-je à Bruxelles ? Etait-ce réellement à cause de ma thèse doctorale ?
Ma tête disait que oui... Mon coeur disait que non...
Tout mon corps tremblait quand l'avion à atterri...................
J'ai été toute la journée occupée avec l'affaire de ma
thèse. Et le soir, je suis rentrée à mon hôtel, j´ai pris un bain et j´ai commencé, sans une idée fixe dans la tête (ou si?) à m´arranger pour sortir. Cette fois je me suis habillée en femme. Je suis sortie toute seule me promener sur la Grand- Place, et mes pas m'ont ramenée à l´ atelier de Waldo...
J´ai eu une grande déception quand j'ai vu qu´il n'était pas là. Comme je repartais, j'ai rencontré un voisin dans le vestibule. Je lui ai demandé s'il savait où était Waldo, et il a dit qu'il était sûrement dans un des pubs du quartier...
Je ne savais pas quoi faire. J´ai pensé que ce serait plus prudent de rentrer à l´hôtel, mais mes pieds ne m´obéissaient pas . C´était la première fois de ma vie que je courais derrière un homme. J'ai visité deux pubs sans succès, et quand je suis rentrée dans le troisième, mon coeur s´est arrêté........ Je me suis figée, et je me suis posé sérieusement cette question: "Vraiment Karen, veux-tu aller jusqu'au bout ?…
Trop tard pour faire marche arrière, Waldo m'avait vue. S'approchant de moi, au lieu de me souhaiter la bienvenue, il a commencé à me gronder pour ne pas l'avoir informé de mon arrivée et pour marcher à sa recherche dans tous les bars du quartier.
Son ton était sévère, et je commençais vraiment à me repentir d'avoir fait tout cela…
Wado me disait que je méritais une punition et il parlait à haute voix. Tout le monde l´écoutait. Il m'a menacée de me punir là même. Je l' ai supplié, et, en baissant un peu la voix il m'a dit alors qu'il m'appliquerait la punition dans son atelier, mais qu´il serait alors beaucoup plus sévère.......
Bien que tout mon corps tremblât, j'ai accepté à nouveau son invitation. Chemin faisant, Waldo m'annonçait comment serait sévère ma punition. Chaque mot qui sortait de sa bouche, chacun de ses regards, me troublaient de plus en plus. A chaque instant je sentais que ma volonté n'était déjà plus ma volonté, ma volonté était sa volonté et qu'il pourrait faire de moi ce qu’il voudrait. Il me dominait.. et moi, j'obéissais.
En pleine rue il m'a obligée à enlever ma culotte et a la lui donner, juste quand passait un groupe de gens... Il a fait alors une observation à haute voix sur l'humidité qu il avait remarqué en elle.. Les gens riaient et moi je crus mourir de honte, de trouble et de peur...
Nous arrivions en fin à l ´atelier quand j´ai entendu l'horloge de la Grand- Place sonner 3 fois.
AUTEUR : Waldo
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